Groupes de travail SHC

Depuis 1994 j’enseigne les SHC. J’ai eu de très nombreux élèves et un bon nombre d’entre eux sont parvenus à réaliser des SHC conscientes en appliquant les techniques que je leur ai enseignées.

Je ferai ici le point de mes 10 ans d’enseignante en SHC. Cette page est aussi destinée aux récits des expériences réalisées par les élèves en apprentissage.

Je publierai ici les SHC des élèves (survenues en 2002-2003). Les premières sorties, en particulier, sont très intéressantes car elles permettent de mettre en évidence les mécanismes de la sortie et de ce qui la provoque.

Cette page permettra aussi une confrontation entre les sorties des élèves et les miennes en vue de mieux comprendre le phénomène de la SHC en général.

Je vous invite aussi à prendre connaissance des nombreuses expériences, témoignages, et groupes de travail sur notre forum via What’s app réservé uniquement pour les stagiaires et les adhérents.Votre participation à notre travail sera la bienvenue. Merci.

Martine, stagiaire à Lausanne, septembre 2012

Stage d’Akhena des 22 et 23 septembre 2012

Suite à ce qui m’est arrivé lors ce stage, il me tient à cœur de partager ce cadeau merveilleux que j’ai reçu “du ciel”.
Sans m’étendre sur ma vie privée, je pense toutefois qu’il est bien que j’exprime le contexte dans lequel je me trouvais lors du début de ce week-end. En effet, suite à de nombreuses années de stress familial et professionnel, je me suis retrouvée, cet été 2012, au bout de la course, ayant passé la ligne d’arrivée de la fin des formations et études de mes filles, et en fait au bout de mes responsabilités parentales. D’autre part, mon travail de naturopathe-rebouteuse et le nombres d’heures qu’ont accompli mes mains à relâcher les tensions musculaires et stimuler les points d’accupressure d’une belle clientèle durant plus de 10 ans ont quelque peu usé mes pouces et je me suis retrouvée avec de fortes douleurs aux mains et avant-bras.
Bref un beau burn-out, plus aucune énergie et une fragilité émotionnelle difficile à supporter. Vidée physiquement et nerveusement. Moi qui suis plutôt hyper-énergique, volontaire et impatiente, belle expérience personnelle de vie finalement après toutes ces séances auprès des patients que j’ai accompagnés dans cet état et auprès desquels je mettais une énergie folle à redonner le moral. Il faut le vivre effectivement pour comprendre ce que veut dire “être à bout”.
Nous voici arrivés au contexte. Le vendredi matin précédent le stage j’avais rendez-vous chez ma doctoresse. Tellement épuisée je lui demandais combien de temps cela pouvait durer, ne supportant plus cet état après deux mois d’arrêt de travail. Elle me répondit calmement que cela pouvait durer des mois et qu’au stade où j’en étais, elle ne voyait pas autre chose pour me soutenir que des antidépresseurs. Je sortis de chez elle presque soulagée d’avoir reçu l’ordonnance d’un produit qui allait me redonner le sourire ! Toutes mes potions naturelles n’ayant pas eu beaucoup d’effet positif, excepté le fait que le cordonnier étant le plus mal chaussé, je ne m’était pas aidée de la spagyrie, trop à plat pour un tirage de plantes. Je pris donc ce vendredi soir 3 gouttes du médicament selon sa prescription qui se voulait très progressive vu que je n’ai jamais pris aucun médicament si ce n’est une aspirine deux fois par année.
Samedi matin, tout le monde est réuni au Dojo pour le stage de sortie hors du corps d’Akhena. Je m’y sens bien et la seule chose qui m’intéresse durant ces deux jours est de rencontrer mes guides, qui travaillent à travers moi depuis toujours, dans mes gestes, mes choix thérapeutiques et mes messages aux patients. La journée se passe bien et le soir en rentrant, je me verse les 3 gouttes avec le sentiment de trahir mon corps. Il est bien clair que cette démarche va à l’encontre totale de ce que je pratique depuis toujours. Écoute du corps, ressenti et respect de celui-ci, que ce soit à travers l’alimentation, le mouvement, le souffle, la pensée positive, etc. J’avale toutefois le breuvage.
Dimanche matin, nous voici à nouveau réuni et nous préparons au travail de respiration et suivons les directives d’Akhena. Et voici : couchée en relaxation profonde, j’ai senti et vu intérieurement mon corps astral blanc se détacher de mon corps physique, en commençant par les pieds et s’élever et tout en respirant dans le diamant, au milieu du front, je me suis alors retrouvée “chez moi”, avec mes guides, mes anges et maîtres ascensionnés qui m’ont pris dans leurs bras de lumière, riant et remplis de joie, j’ai ressenti tellement d’amour baigner tout mon corps et une telle présence de force, de soutien, de pureté, de confiance, de joie et légèreté que des larmes ont coulés de mes yeux. Alors je leur ai communiqué ceci : – pourquoi depuis des années vous guérissez à travers mes mains et geste des douleurs à beaucoup de patients sans que je comprenne vraiment ce qui se passe et que vous ne faîtes rien pour moi et me laissez dans cet état d’épuisement depuis des semaines ? J’ai commencé à sentir mon corps vibrer, ma cage thoracique se soulever par soubresauts, comme des spasmes. De mon plexus solaire a été extirpée une boule énergétique grise tirant de mon sternum et de ma tête une sorte de glue élastique, libérant mon corps de toutes ses tristesses. Les larmes coulaient plus fort de mes yeux sans que je puisse bouger et suite à cette opération je me suis sentie libérée d’un énorme poids et un immense soupir a baigné ma cage thoracique d’un grand soulagement. Nous sommes arrivés en fin de “travail” et bien sûr quand il a fallu raconter ce que nous avions chacun vécu, j’étais en larmes, mais des larmes d’émotion positive.
Il est clair que ce soir-là j’ai renoncé à prendre le médicament. C’est une vraie guérison que j’ai eu la chance de vivre et je remercie de tout mon cœur mes guides et ma famille cosmique, divine.
Le lundi matin j’ai enfin “tiré” mes plantes en spagyrie et quelle merveille. La première et Cimicifuga qui travaille sur le deuil ou la perte d’un être cher. En effet, cet été il a été très difficile pour moi de ramener ma fille à l’aéroport, qui repartait à New-York où elle vit depuis 5 ans et je sais que je ne la verrai qu’une ou deux fois par an, j’ai aussi perdu mon frère il y a quelques années. La dernière plante Thymus vul. aide à se libérer des tristesses ancestrales. Je prends encore le temps de recharger mon corps physique qui est encore bien fatigué, mais j’ai retrouvé l’envie de faire plein de projets pour cette nouvelle vie de “pré-retraite” qui m’est offerte. Quel bonheur de ne plus avoir les larmes au bord des yeux pour un oui ou un non.
Voilà, je sais maintenant que je vais pouvoir avec une foi profonde organiser mes stages de méditations et connexions à nos guides, et aider peut-être d’autres personnes à vivre de belles aventures cosmiques pour pouvoir déguster pleinement la vie sur terre.
Je vous envoie plein d’amour et vous souhaite plénitude, bonheur et paix.

Eugénie, 15/08/2012

Bonjour Akhena,
Juste un petit mot pour vous dire que cette nuit j’ai expérimenté pour la première fois une sortie hors du corps volontaire c’était magique… Cela fait un mois que je travaillais régulièrement et cette nuit ( jour de l’ascension rigolo comme symbole 🙂 ) j’y suis parvenue en vivant bien de manière consciente la sortie et j’avais tout au long de l’expérience tous les passages importants de votre livre qui m’ont aidé très concrètement à vivre sans peur cette promenade magique!
Encore merci et au plaisir d’approfondir cet apprentissage en octobre
Eugénie

Carole, stagiaire, 1er janvier 2010

Bonjour, je m’appelle Carole et je suis venue passer trois jours avec Akhena pour apprendre à sortir hors du corps. Durant ces trois jours j’ai eu la chance de pouvoir faire un voyage hors du corps. Voici donc mon témoignage.

Cela s’est passé la deuxième nuit du séjour, en réalité à la fin du 1er jour de stage, car j’étais arrivée la veille.
Durant toute la journée nous avons fait des exercices et parlé de la sortie que nous aimerions faire. Akhena nous avait demandé de décider de ce que nous aimerions faire si nous sortions de notre corps.
Je décidais que je voulais essayer d’allumer la lumière, car cela permet, si la lumière s’allume, de savoir que l’on n’est pas dans un voyage astral. Si par contre, la lumière ne s’allume pas, cela indique que l’on est hors de son corps.
Puis si je constatais que j’étais hors du corps, je voulais aller dans la chambre d’une des participantes, qui est une amie, et de m’asseoir près de son lit et de lui parler. Puis je voulais aller visiter la chambre d’Akhena que je ne connaissais pas. Mon amie m’avait suggéré qu’elle poserait ses lunettes quelque part et que je devais lui redire où.
Le soir nous avions quartier libre. Je décidais de continuer à travailler par moi-même sur cette sortie. Je pratiquais quelques exercices acquis dans la journée, puis je me suis mise une musique et je me suis répété de nombreuses fois que j’étais toujours sortie de mon corps, et que je me souvenais de tous mes voyages. Je rajoutais également un exercice pour faire monter le kundalini que j’avais appris dans un autre séminaire. (Il s’agit de se concentrer sur le feu au bas de sa colonne vertébrale en inspirant et d’expirer ensuite en visualisant son feu qui monte dans la colonne vertébrale jusqu’au 3ème œil, ou diamant ,terminologie utilisée par Akhena).
Je me suis ensuite endormie en me disant que j’allais me réveiller vers 4 heures du matin pour faire ma sortie de corps. Pour être sûr de me réveiller, je mis mon réveil pour 4h15.
En fait, c’est mon réveil qui me réveilla. Je me suis alors levée et je me suis assise dans un fauteuil relaxe et je me suis mise une musique qu’Akhena nous avait fait écouter (Nagual de Claude Desarzens). Durant tout le disque je me suis répété que je sortais de mon corps et que je me souvenais de mon voyage. Mais rien ne se passa. Un peu dépitée, je décide de me recoucher et je me dis que cela sera pour une autre fois. Et je lâche-prise. Quelques minutes plus tard je tombe du lit. Comme j’étais dans un sac de couchage, je me dis que j’ai du trop m’approcher du bord et je me relève et je constate alors que je suis allongée sur le lit. Intérieurement je me dis : « génial j’ai réussi » et je sens en moi une forte excitation. Je me calme et je me dis : « bon procédons par ordre, en premier la lumière ». C’est alors que j’aperçois une ombre sur ma droite, je n’arrive pas à voir si c’est un homme ou une femme, mais j’ai plus le sentiment que c’est un homme. J’ai un léger soubresaut de peur, puis je me redis : « d’abord la lumière, il faut que je sache si je suis bien hors du corps ». Aussi tôt dit, aussitôt fait, je me retrouve en un clin d’œil devant l’interrupteur. J’appuie et rien ne se passe. Je crie intérieurement : « ourah ! j’y suis ». Puis je me retourne vers l’ombre et je lui fonce dessus. Je réalise que j’avais tellement peur que c’était presque une façon de désamorcer ma peur que d’aller rapidement vers cette ombre. Mais dès que j’arrive près d’elle, elle disparaît.
Je me concentre et je me dis : « bon la suite maintenant ». Je me dirige vers la porte, qui sépare la salle de travaille où je dors et un autre espace où se trouvent les chambres. Et curieusement je rentre à reculons. (Akhena nous expliquera que l’on voit à 360 degrés lorsque l’on est hors de son corps et donc parfois on à l’impression de marcher à reculons alors que l’on avance).
Je rentre dans la chambre de mon amie et je m’assieds près de son lit. Elle est endormie, je mets ma main sur elle et je la réveille. Elle sursaute et s’assieds dans son lit. C’est alors que je me dis, mais de quoi vais-je parler ? A ce moment là tout bascule, la chambre n’est plus sa chambre, il y a une grande baie vitrée où l’on voit un magnifique paysage et on parle de ses conquêtes amoureuses. Tout me parait être tout à fait normal, et j’en ai oublié que tout cela ne correspond pas à la réalité, car j’avais vu sa chambre la veille avant de me coucher. Mais à ce moment-là tout me parait absolument normal et on discute. A un moment donné je prends congé et je lui dis que je dois encore aller dans la chambre d’Akhena. Je m’y rends et lorsque je suis face à sa porte je n’ose pas rentrer. Je frappe et elle me dit d’entrer. Elle est dans sa chambre avec une amie. Elle me souhaite la bien venue et je lui dis que je dois inspecter sa chambre pour pouvoir la décrire lors de mon réveil. Elle me fait la visite guidée, et je me retrouve à découvrir une grande chambre d’un grand château. Son amie attend dans un coin. Puis la visite terminée, je me réveille. Il est 7h30 du matin.
Quelques remarques après discussion avec Akhena le lendemain matin.

– Tout bascule au moment où je ne sais pas de quoi parler avec mon amie. Soit je crée une réalité soit je rentre dans son rêve. Car lorsque l’on est proche de quelqu’un qui rêve on peut entrer dans son rêve et y participer.
– Dans l’astral tout est normal même si on sait que ce n’est pas comme dans la réalité physique.
– Akhena a fait une sortie de corps vers 5h45 où elle a rencontré une amie. Je me suis recouchée vers 5h15 et me suis endormie et j’ai fait ensuite ce voyage. Il y a des chances pour que nos voyages se soient passés en même temps. Elle était bien avec une amie dans sa chambre en m’attendant. Mais je suis rentrée dans un rêve, aussi bien pour mon amie que pour Akhena, car elle n’a pas une chambre de château. Par contre elle aurait toujours voulu vivre dans un château. Et mon amie à fort à faire avec ses aventures amoureuses.
– J’ai fait une sortie dans laquelle je n’ai pas eu ma conscience totale, car je n’ai pas de souvenir du moment de ma sortie.
– Il est important pour moi de bien préparer mes sortie, car une fois dehors de son corps je ne sait plus très bien quoi faire.
– J’ai totalement oublié les lunettes de mon amie. Le soir, en me préparant pour ma sortie, j’avais oublié ce détail, donc une fois dehors cela n’a pas été non plus présent.

Le lendemain j’ai à nouveau essayé la même procédure, pour faire une autre sortie, mais il ne s’est rien passé, je me suis rendormie vers 5h15 comme un bébé.

Tycarin, stagiaire, janvier 2010

Chère Akhéna,
ce petit mot pour te relater une drôle de mini-aventure qui m’est arrivée.
Au cours d’une de mes premières sorties chez toi à Lavéra (en fin d’été) je me suis trouvée dans un paysage magnifique, sur une petite hauteur dominant un très grand pré vert foncé avec des montagnes gris-noires, embrumées en fond d’image. Dans le pré devant moi détalaient de petites chèvres adorables, comme si elles se sauvaient. Je suis sûre que c’était une vraie sortie car je n’ai pas entendu mes satanés acouphènes et je ne m’y suis pas vue moi-même.
A l’époque je n’avais aucun plan de voyage en vue.
Six mois plus tard, courant novembre je m’achète un voyage en Jordanie où je me rends en décembre. Et je me retrouve, cette fois-ci pour de bon, dans la réalité d’ici-bas, sur une petite hauteur, devant un troupeau de petites chèvres détalant devant moi. Avec dans le fond, exactement les mêmes montagnes que j’avais vues dans ma SHC six mois plus tôt ! La seule chose qui était différente, était la couleur du pré : dans la réalité d’un pays sec avec très peu d’eau, le pré était desséché et plutôt brunâtre. Mais les petites chèvres étaient les mêmes !
Et j’ai éprouvé le même bonheur que six mois plutôt en SHC.
As-tu une explication pour cela ?
Bien amicalement à toi et à très bientôt
Tycarin

Christiane, élève des cours à distance, 29 mars 2009

J’étudie le 2ème CD depuis une semaine.
Vendredi matin, après le départ au travail de mon mari, je me suis mise en méditation avec le CD. J’ai vu alors mon mari, le visage stressé, se mettre à courir. Cette vision était réelle, il devait être 7 h 30 environ. Le soir, il m’a confirmé qu’à 7 h 30 effectivement,une annonce leur disait que les 2 derniers wagons allaient être détachés et de regagner très rapidement les wagons de tête. Il s’est donc précipité avec les autres voyageurs, il
fallait courir.
Samedi soir, je vois en rêve un cadre représentant un crucifix accroché au mur. De lui
émane une très grande lumière qui inonde la chambre à coucher. Puis je me suis réveillée et j’ai programmé une SHC pour le soir même. J’ai répété une trentaine de fois que je sortais consciemment hors de mon corps physique. Je ne sais pas si je suis réellement
sortie, je me suis retrouvée dans la cuisine. Brusquement de l’eau venant de la porte fenêtre s’est déversée sur le sol, la hauteur atteignait une dizaine de centimètres. J’ai eu peur et une voix intérieure m’a dit : “Tu vois, tu voulais sortir de ton corps !” j’ai répondu : “Maintenant je veux rentrer !”. Je me suis réveillée. Je me suis rappelée que l’ancien propriétaire nous avait dit que le rez-de-chaussée de la maison (dont la cuisine où j’étais) était souvent inondé avant que nous n’entreprenions des travaux de rénovation et d’écoulement des eaux pluviales.

Dominique, Nantes, le 8/11/2008

J’avoue que j’ai assez peu pratiqué les exercices depuis le stage de Juin 2008, à Paris, me contentant d’entretenir mon intérêt à réaliser une 1 ère sortie.
Pour ce faire, je lisais assez régulièrement les livres d’Akhena et de W. Buhlman et, depuis quelques jours, re-écoutais ” The power of Seven ” assez régulièrement.
M’étant couché la nuit dernière assez tôt ( 23 h ), je me réveille à 2 h, et selon mon habitude, regarde la télé jusqu’à ce que le sommeil me reprenne, ce qui n’a pas manqué vers les 3h30;
et, ainsi que je l’avais fait avant de m’endormir, je recommence à répéter une quarantaine de fois ” je quitte mon corps spontanément, et tout se passe bien ” et je répète et répète….
Puis + tard, aucune idée précise de l’heure, je sens mon corps vibrer, les bras d’abord, puis très vite, tout le corps d’une manière pas trop puissante et plutôt agréable; il me semble également entendre
un ou des sons assez sourds, et , conscient, mais je crois endormi, je me dis : oui ! çà y est, je sors de mon corps, tout va très bien se passer, et je demande l’aide de mes guides dans cette 1 ère sortie.
Dans le même temps, je sens 1 mouvement d’accélération comme si je me déplaçais vite, dans un cadre irréel, fait d’une vague luminosité et de figures géométriques, et tout d’1 coup, je me réveille, déçu et content
car j’ai le sentiment que c’est le tout début de l’aventure !
En tout cas, çà m’encourage vivement à être + régulier dans mes exercices.

Patricia, e-mail du 20 juin, après le stage des 14 et 15 juin 2008

Je tiens à te faire part de ma 1ère SHC.
Après plusieurs essais infructueux, j’ai fait ma 1ère SHC ce matin. Préparation hier soir avec respiration rythmée et demande de sortie pour 4h de matin.

Je me reveille une 1er fois vers 3h du matin, fourmillements, demande, mais rien.
Je me reveille une 2ème fois, fourmillements, demande, mais rien.

Je décide de me rendormir pour de bon et on verra bien ! Je demande quand même à mes guides pourquoi je ne sors pas.

Les fourmillements reviennent, je décide de laisser faire, et tant pis si je me rendors !

Presqu’aussitôt, des images devant mes yeux, j’ai comme un home cinéma au pied de mon lit, très grand champ de vision, j’assiste à un défilé de mode des années 70, les couleurs sont très belles, je vois très bien. Je sais que je suis consciente et je me dis que je suis sortie. Un homme que je ne vois pas me dit que lui aussi, il voit et il entend, je sais que c’est Yves Saint Laurent.

Puisque je suis sortie, je décide de bouger, je veux me lever, mais mon corps est lourd. J’ai du mal à me mettre assise sur le bord du lit. Je demande de l’aide à mes guides. Deux mains viennent me tirer, je me soulève mais je retombe aussitôt sur le lit.
Je sais que je ne suis pas dans mon corps physique. Je sens des présences, des ombres, difficile à décrire, des formes. Ce n’est pas lumineux, mais je ne ressens pas de peur.Je dis que si c’est des projections, qu’elles partent !

Deux corps passent, ils flottent, à l’horizontal, une femme habillée de bleu à la manière des petites filles modèles, et un homme en Sherlock Holmes. Au début, je pense que la femme c’est moi, et puis ensuite non. Je ne sais si ce sont des entités ou des projections, je ne pense pas demander.
Je commence à sentir une gène respiratoire, mon nez se pince, je suis obligée de respirer par la bouche. Je décide donc de redescendre dans mon corps.

Je change de plan. Les murs de ma chambre ne sont pas stables et couverts de petits carreaux bleus, comme dans une salle de bain..
Je continue de descendre, tout en douceur. Et puis je pense être revenue dans mon corps physique, je vois ma chambre très distinctement, même plus lumineuse encore, sauf que les meubles sont des années 60 et que j’ai une porte en blois clair à la place de ma fenêtre. Je sais donc que je ne suis pas rentrée encore. Je regarde à côté de moi, un chat est sous la couette, je vois juste bouger sa queue en panache d’un ton gris. Je me dis qu’Isis a du me rejoindre. Et puis, non Isis a bien une queue en panache, mais elle est dans les tons de marron beige, et en plus je la sens pas très loin sur ma gauche.
Je continue de descendre tout doucement. J’allonge mon bras droit, je sens le buste de mon ami Alex, il prend ma main, je lui demande s’il est là, il me répond qu’on parle.

Je me réveille pour de bon, Alex n’est pas là, il n’a pas passé la nuit avec moi.

Je me lève pour écrire tout de suite pour ne rien oublier, j’ouvre la porte de ma chambre qui se trouve à ma gauche, Isis est là sur le palier qui m’attend, exactement là où je l’ai sentie.

Je ressens une très grande joie, inqualifiable.

Ce matin j’arrive au bureau et regarde mes messages, je reçois toutes les semaines un courrier d’un organisme et en fin de la page, il est question d’une enquête et là, je vois comme logo, une affiche de Sherlock Holmes, habillé exactement comme dans ma sortie ! Hallucinant et rigolo à la fois.
Quelle expérience !!!!

Thierry, SHC de la nuit du 7/01/2008
Dans mon sommeil, je suis soudain envahi par une vibration que je connais bien, celle de la SHC, je prends immédiatement conscience et me voilà hors de mon corps, content d’y être arrivé.
Je me trouve dans ma chambre devant ma porte en bois, je colle mon front sur la porte et je la traverse. Je me trouve dans la pièce voisine, de là suis projeté dans l’appartement de ma mère qui se situe au dessus du mien.
Je vais vers la fenêtre et je me dis : « tiens, va voir dehors ce qui se passe, je colle mon front sur la baie vitrée, la sensation est moins agréable que le bois, c’est plus dur et je recule pour comprendre pourquoi c’est plus dur et très froid. Je me dis alors : « pourquoi ne vas-tu pas voir J.P. qui est décédé depuis peu ? » Je suis envoyé devant un jeune homme d’une trentaine d’années, je le vois très brun avec une moustache, son regard me dit que je le connais, mais phénomène bizarre, je ne ressens aucune émotion de sa part, comme s’il avait été parachuté dans un monde où lui-même se demandait ce qu’il devait faire, je le voyais mais je ne pouvais pas communiquer avec lui, il n’avait aucune émotion, ni de joie, ni tristesse, il se demandait qui il était.


Témoignage de sortie de Jean, le 2/07/2007

Première SHC après un mois d’exercices et d’ateliers avec Akhena

Ma première sortie s’est réalisée au bout de 4 exercices que j’ai fait sur 24 heures, ayant décidé de consacrer ce jour férié à la sortie hors du corps.

Les exercices que je fais chez moi sont toujours réalisés avec le CD d’Akhéna (La projection astrale) en travaillant sur le 2eme exercice.

J’ai commencé l’exercice à 4h30 du matin. Comme d’habitude bonne relaxation, bonne vibration dans un état de flottement. Éveillé et conscient jusqu’à la fin de l’exercice sans jamais m’assoupir.

Lorsque l’exercice est arrivé à terme et que je me trouvais dans un état vibratoire satisfaisant mais qu’il ne s’était rien passé, j’ai décidé de continuer l’exercice sans l’aide d’Akhena.
Et, par le plus grand des hasards, mon appareil s’était mis sur replay . J’ai donc pu refaire l’exercice sans casser l’osmose ni refaire la relaxation. C’était plus un support qu’un exercice dirigé comme précédemment.

Au trois-quart de l’exercice, presque dans un état de somnolence, au moment où j’allais m’endormir, tout à coup j’ai senti et vu mon corps astral se lever et c’est une fois debout que j’ai réalisé que j’étais hors de mon corps physique.

J’ai senti alors une bouffée de joie m’envahir, et j’ai senti également que je souriais.
Les choses se sont tout de suite accélérées et je suis allé à la salle de bain me voir dans le miroir comme je l’avais programmé. Il régnait dans la salle de bain une légère clarté bleutée malgré l’obscurité normale qui s’y trouvait.

J’étais le même, une image assez floue, un peu plus petit, je me suis approché du miroir pour voir mes yeux mais je ne les ai pas distingués. J’ai vu bouger mes bras. L’image n’était pas statique mais c’était moi.

Ensuite je me suis trouvé devant la bougie que j’avais allumée dans ma chambre et là j’ai décidé de toucher la flamme pour voir si cela brûlait. J’ai juste senti une légère chaleur mais rien de physique.

Je suis sorti ensuite avec précipitation sans rencontrer d’obstacle à travers le salon (meubles ou autres)par contre j’ai eu le réflexe d’ouvrir la porte qui donne sur la terrasse mais toujours en étant très conscient, j’ai eu une légère sensation de froid.
Je me suis subitement retrouvé à 50 mètres au-dessus de la maison d’où je pouvais voir le jardin, le reflet de la lune sur l’eau de la piscine, la toiture de la maison, etc.

C’est à ce moment que j’ai entendu la voix d’Akhena qui demandait de regagner son corps physique alors que j’étais encore au dessus de la maison.
Cela m’a surpris. J’ai aussitôt atterri dans les arbustes du jardin sans aucune égratignure.
Dans la précipitation j’ai tout de même refermé la porte de la terrasse, refait le même chemin toujours sans obstacle et là j’ai réintégré mon corps physique.

Ma conclusion pour cette première expérience c’est que si l’on pense à des sensations comme chaud ou froid, on a le ressenti mais très légèrement, que l’on reste toujours conscient du début jusqu’à la fin, que l’on a donc un potentiel énorme et illimité dans un monde immatériel régi par la pensée.

Pour une 1ere sortie hors du corps je n’en espérais pas autant, ce qui me donne de l’enthousiasme pour la suite.

Je tiens ici à remercier Akhena pour son enseignement qui nous apporte beaucoup.

Première sortie de Nathalie
J’ai fait le stage avec Akhena mi-octobre 2007, et hier soir, pratiquement un mois après le stage, j’ai connu ma première sortie du corps.
En effet, je m’étais programmée comme chaque jour, et hier soir, vers minuit j’ai ressenti des picotements dans tout mon corps, puis j’ai eu la sensation de me relever et de frôler ma penderie qui se trouve sur le mur à droite de mon lit, pour aller jusqu’à l’interrupteur de ma chambre. Là, j’ai essayé d’allumer la lumière mais évidement je n’y suis pas arrivée, et lorsque j’ai regardé au niveau de mon lit je me suis vue allongée sous la couette. Ensuite, je suis allée voir mon fils dans sa chambre, j’ai été surprise de traverser le mur entre le bureau et sa chambre. Puis je suis revenue dans ma chambre et là j’ai traversé la fenêtre de ma chambre et je me suis retrouvée en train de voler. J’ai à ce moment là ressenti un léger froid sur tout le corps, et je me suis mis à voler au dessus des terres en allant vers la mer, puis je me suis réveillée. Cette expérience donne envie de recommencer et bien sûr d’aller encore plus loin.

Une sortie de Françoise

Ma grand- mère qui était tout pour moi est décédée en février 2000. Une nuit elle est venue me chercher en me disant: je vais te montrer où je suis maintenan. Tout d’ abord le paysage est en couleur sépia et au long de notre marche tout s’éclaire de couleurs très lumineuses, certaines jamais vues(je vous passe les détails. A la croisée d’un chemin ma grand’mère me dit :”Je ne peux plus avancer, nous allons chercher Christian (mon mari.” Je nous vois tous les trois marchant sur un chemin, mon mari portant ma grand’mère posée sur ses 2 avant bras, je passe beaucoup de choses. Ce qui est extraordinaire, le matin au réveil, je demande à mon mari s’il avait bien dormi et il me répond en allongeant ses bras et me montrant ses avant-bras:je ne sais pourquoi mais j’ai mal là! Après lui avoir raconté notre voyage nous sommes restés un long moment sans parler!L’histoire est très belle.

Du rêve à la SHC, premières expériences de Max, juin 2007

Nuit du 28 juin
Je pars en volant. L’ambiance est crépusculaire. Les présences sont là ; mais elles ne sont plus hostiles (peut-être parce que j’ai décidé de ne plus en avoir peur). Je me livre au plaisir du vol mais c’est dans un bâtiment qui ressemble à un stade : il faut traverser murs de béton et cloisons. La réalité de cet environnement s’accentue au point que j’en ai un ressenti tactile. Avant d’atteindre le ciel libre et bleu je suis arrêté par un grillage que je traverse sans difficultés en en ressentant très nettement la matière. J’ai de plus en plus conscience d’être en train de flotter dans l’espace et d’être en SHC. J’éprouve alors un choc et je me “réveille” instantanément.

Nuit du 1er juillet
Dans un lieu vaste – monastère ou lieu de retraite – un groupe autour d’une femme-pasteur. A la fin du “stage” nous avons la possibilité d’un ou plusieurs exercices particuliers de niveaux et de prix différents ; le maximum consistant en un entretien individuel avec le pasteur. Il faut payer ce supplément avec des jetons de différentes valeurs. Nous défilons un à un devant le pasteur revêtu de sa robe noire à rabat blanc. Je paie 2 exercices ; l’un avec un jeton en bronze, l’autre avec un jeton en argent qui vaut 100€, pour cet entretien individuel. Ceci me distingue et me place au-dessus des autres participants dont je ressens un certain respect ou au moins une reconnaissance particulière. Mais l’entretien individuel est remis à plus tard.
Je suis très ému et en attendant l’entrevue je me dirige vers l’endroit où se trouve la chapelle ; mais à sa place je trouve un lieu privatif éclairé par une ampoule électrique, meublé d’une table couverte de restes de repas et un canapé le long du mur. Je me dis que le bâtiment autrefois religieux – celui où j’ai vécu autrefois à Moulins – est devenu une école laïque.
Un autre endroit dans le même bâtiment : mes enfants sont repartis après les vacances. Une armoire au milieu d’une vaste pièce. En rangeant les affaires, je retrouve le blouson oublié par mon plus jeune fils et dans une poche le porte-monnaie de sa mère. Un stock de plusieurs centaines d’images est aussi oublié en vrac dans un coin de l’armoire.
Je m’éloigne de l’armoire et prends conscience alors de n’être pas seul : quelqu’un bouge dans la pièce voisine ; je vois l’ombre portée de deux jambes marchant dans la cuisine. Je vais voir et me retrouve face à moi-même, appuyé contre l’évier et tenant un enfant dans les bras. Pris de panique j’éprouve un premier réflexe de fuite et commence à sortir du rêve. Mais je me suis interdit la peur ; je dois rester. Je sais alors que je suis “en astral”; l’environnement a d’ailleurs pris un relief et une présence saisissants. L’autre “moi” devient tour à tour la figure de mon père puis celle de mon fils aîné. Je m’en approche mais il ne me voit pas. Il se tourne pour sortir de la cuisine.
Très doucement je reviens “dans mon corps” le cœur battant très fort. Je n’ai pas eu l’énergie de rester dans l’expérience et d’agir sur l’environnement. Cette partie du rêve correspond au premier jeton que j’ai payé au pasteur et qui était relatif aux enfants (?). J’attends encore mon entretien privé.
Je remercie pour cette expérience très chargée émotionnellement.

Les débuts de Priscilla : rêves et première SHC, avril 2006

J’ai fait un rêve dans lequel je me dédoublais.
Les deux parties de moi se parlaient (l’une, plus spirituelle, qui essayait de rassurer et de faire agir avec bonté la deuxième plus matérielle). La même nuit, j’ai fait un rêve des plus surprenant dans lequel je me promenais dans des rues tunisiennes avec une amie (qui est justement partie en Tunisie il y a peu). Sur un étalage d’une boutique j’ai aperçu un livre où était inscrit quelque chose comme “Akhen” “Akhena” ou “Akhenaton”. C’était un livre sur les sorties hors du corps. Au moment où je m’approche du livre pour le feuilleter, un jeune homme en chaise roulante s’y approche également. Gêné, il s’éloigne pour me laisser regarder. Je le regarde en pensant “Normal qu’il s’intéresse aux sorties hors du corps puisqu’il est handicapé”. A ce moment là, je le vois se transformer en égyptien de l’époque des pharaons. Il était peu vêtu, et je pouvais voir des hiéroglyphes bleus et dorés inscrits le long de sa jambe droite. Il avait à la main un sceptre doré. Je ne pourrais pas faire une description précise mais je peux dire qu’une certaine lueur dorée émanait de tout son être.
J’ai été très surprise de ce rêve car je n’ai absolument jamais rêvé d’égyptien, et que je ne me suis jamais particulièrement intéressée à cette culture. De la même façon, je n’avais jamais rêvé que je me dédoublais. Je pense sincèrement que tout cela a un rapport avec ma volonté de sortir consciemment de mon corps.

J’ai passé presque tout mon jeudi à faire des exercices et tenter de sortir consciemment de mon corps. Mes efforts n’ont pas été vains. J’ai d’abord fait des exercices durant l’après-midi. De temps en temps je m’endormais, et je reprenais mes exercices dès que je m’en apercevais. J’ai fait une pause en début de soirée pour reprendre mon entrainement vers 21h.
Là, j’ai demandé à sortir immédiatement de mon corps. Je me suis assoupie. D’un coup, j’ai été réveillée par des “bondissements” des membres de mon corps. Mon esprit était encore un peu endormi. Ces bondissements étaient assez forts, et j’avais comme l’impression que mon corps s’était transformé en une centaine de balles rebondissantes qui rebondissaient sans cesse indépendamment les unes des autres. C’était plutôt amusant. J’ai vite réalisé “c’est ça l’état vibratoire !” et j’étais très enthousiaste, presque euphorique. Après cet instant d’émerveillement, je me suis dit : “mais, que
dois-je faire maintenant ? Et bien, je vais m’élever et aller voir mon guide.”
J’ai alors affirmé que je m’élevais et flottais au dessus de mon corps, et j’ai effectivement ressenti la sensation correspondante. Les drôles de vibrations se sont arrêtées. C’est alors que j’ai pensé “zut, j’ai loupé”. Et je suis instantanément retournée dans mon sommeil.

C’est une belle réussite partielle je trouve. Voilà maintenant ce que j’ai pu tirer de cette petite expérience. Tout d’abord, je sais à quoi peut ressembler l’état vibratoire. Avec le recul, j’ai été surprise de n’avoir eu aucune peur, bien au contraire, et de n’avoir entendu aucun bourdonnement ou autre son. J’ai commencé à comprendre la force de la pensée lorsqu’on est détaché de son corps. Effectivement, ce sont mes pensées qui rythmaient l’aventure. Et, c’était différent de mon état de veille normal. Je ne sais pas
trop comment le décrire. Et surtout, en me réveillant, j’ai compris que je n’avais pas loupé, du moins, pas avant de l’avoir pensé. Il est normal que l’état vibratoire soit parti si je me séparais de mon corps physique, et moi, j’ai cru que cela annonçait mon échec. Mais, de toute évidence, avoir pensé à l’échec m’a fait retomber dans mon corps endormi

Sortie de Jean-Philippe, le 26/03/2006
Je dors
Je rêve …
Je conduis un 4×4 sur un chemin de campagne. Soudain, je réalise que je dois porter secours à un homme qui hélas, je le sais est bien loin d’où je suis.
J’arrête le véhicule …
« La solution, ce serait de prendre l’hélicoptère ou d’y aller en sortie hors du corps ».
Sitôt dit, sitôt fait, je me mets soudain à prendre de l’altitude.
Je réalise alors avec enthousiasme que je suis hors de mon corps …
Je continue de prendre de l’altitude et je suis maintenant très haut au-dessus des vertes vallées.
Maintenant, il me faut aller dans cette direction …
Ah sacrilège, je n’arrive pas à contrôler la marche avant … sitôt que je pense aller de l’avant, je vais en arrière.
Que cela ne tienne, je fais demi-tour et voyage en arrière …
Rapidement, je me trouve à l’approche d’un gigantesque arbre … un large et très haut tronc avec tout un feuillage tel un parasol.
Il est beau, je m’en approche encore …
Maintenant, je passe à travers les fins branchages de son feuillage et je ressens parfaitement la texture de ce feuillage. Je m’accroche à une branche et tout doucement, je me sens tomber comme si mon poids avait été trop lourd pour la branche. Je tombe tout doucement et tout en douceur, je touche le sol : une terre humide et meuble. Je sens même l’odeur de cette terre riche et noble.
Je remonte dans les airs, me prends quelques moucherons dans la figure et décide de rentrer dans mon corps.
Y penser a suffit, je me retrouve à voyager à la vitesse grand V jusqu’à une entrée d’une grande et vieille belle bâtisse. Je suis sous le porche d’entrée …
« Mais pourquoi ne suis-je pas encore rentré dans mon corps ? »
Sitôt pensé, sitôt fait, je me sens de nouveau aspiré … petite secousse et j’ouvre les yeux dans mon lit. Il est 4h50

Première sortie de Jean-Pierre
Voilà avec quoi je me suis réveillé tout joyeux ce matin 14 mars 2006 jour de pleine lune.

Au petit matin (je m’étais déjà levé puis recouché et rendormi), dans mon sommeil, une joie me traverse. Je viens de m’apercevoir que je suis conscient à l’extérieur de mon corps. Je suis dehors, je plane à une certaine hauteur, il fait nuit. Je sens le froid mais il ne me dérange pas. J’ai la sensation d’avoir un corps très léger et de plus en plus vaporeux en descendant vers les pieds . Aussitôt je décide de me propulser et de m’envoler (sans but). Ce que je fais très joyeux (avec une certaine ivresse). Je me retrouve de nuit sur une place que j’identifie être dans la vieille ville. Je croise des passants, je les traverse. Un petit moment après je m’amuse auprès de ces personnes ou d’autres, un couple je crois, à passer ma main au travers de leur corps. Il ne font pas cas de moi. Je sens une légère résistance lorsque ma main et mon bras les traversent, ce qui m’amuse.

Puis je me réveille la tête envahie de cet évènement. J’ai la sensation d’être rentré dans mon corps tout en douceur et surtout avec le même sentiment de joie.

Expériences de stage : les premières sorties de Michèle

Première expérience :

Suite à mon premier stage avec Akhena en mai dernier, je me suis mise à pratiquer des séances de méditation grace aux supports CD , à environ un rythme de 2 séances de 30 mn par semaine.

Trois mois environ après , je fais ce que je crois être un rêve alors que je m’étais “programmée pour une sortie le matin au réveil.
Mon ami étant alors au Canada , je projette d’essayer de le retrouver en tenant compte du décalage horaire.Je me vois alors me déplacer très vite sans avoir eu de sensations de sortie hors du corps , juste l’impression d’être dans un rêve éveillé ;je me retrouve dans ce que je crois être le restaurant qu’il possède à Vancouver et je passe dans des couloirs que je ne reconnais pas vraiment passant à coté de personnes qui semblent ne pas me voir, j’arrive dans la pièce principale et je fixe mon attention sur des câbles électriques arrachés et un désordre dans la pièce .Je me réveille en sursaut surprise par ce rêve curieux.Le lendemain j’appelle mon ami lui relatant cela: il me dit avoir été victime d’une effraction dans la nuit et des câbles d’ordinateurs ont été arrachés……

Deuxième expérience (septembre)

Juste ce mail pour partager une expérience assez curieuse: hier ,après avoir
essayé de programmer une SHC après une séance de méditation grâce au CD
/projection astrale, alors que je m’étais “programmée ” pour le matin au
réveil vers 6h , cette même nuit j’ai été réveillée par des flashs lumineux
très intenses de lumière blanche que je percevais au milieu de mon front
(j’étais alors endormie et cela m’a vraiment réveillée), il était 3 h du
matin ; la sensation ressentie était un bien être intense et ces “lumières”
ressemblait à une pluie d’étoiles avec une sensation de flotter dans un
espace cosmique(si je peux trouver une comparaison) !

c’est la première fois que j’expérimente ce type de sensation très
agréable et je ne sais pas si cela peut avoir un lien avec ma tentative de
SHC consciente.

Troisième expérience

Cette expérience que j’ai vécue comme une perception consciente de SHC pour la première fois car je participais à mon deuxième stage avec Akhena les 13-14 novembre dernier.
C’est l’après-midi et avec le groupe, Akhena nous propose de travailler sur la respiration rapide , technique que je ne pratique pas chez moi car je la trouve difficile.Je suis allongée et une musique hemisync mixant des chants tibétains et d’autres sons est en fond sonore.Après environ 20 mn de respiration rapide , je commence à ressentir une paralysie des bras puis des jambes et enfin de mon corps entier; je décide de ne pas m’angoisser au vu de cet état qui avait fait l’objet d’autres témoignages et puis après quelques minutes la paralysie fait place à un état vibratoire intense , le fait d’être avec le groupe me rassure et je continue à ne pas m’impressionner de cet état difficilement traductible en mots.Une chaleur envahit mes mains que je perçois brulantes; puis j’ai l’impression qu’une vague d’énergie soulève mon corps et je me sens aspirée vers une lumière blanche avec un flot d’images venues d’ailleurs: mon mari décédé 7 ans auparavant vient vers moi en me souriant ainsi que mes grand-parents…

Cette expérience intense a été vraiment une révélation consciente de ce que pouvait être une SHC et évidemment envie de continuer le voyage !

Première sortie de Anne-Rose
Samedi 17 juillet entre 8h30 et 9h 30 : Couchée très tard la veille, je me réveille à moitié vers 8 h 30. J’en profite pour me programmer pour sortir.
Mais rien ne se passe ! Alors comme le sommeil me reprend, je me tourne et décide de me rendormir ! Je me tourne dans mon lit…et tout à coup, je me retrouve dans un un parc ! Il fait très beau. Il y a une maison style montagne allemande avec quelques enfants qui jouent autour mais qui ne s’occupent pas de moi. On se croirait dans une photo. Les couleurs sont plus intenses que d’habitude. Et soudain, je réalise que je suis sortie de mon corps et que je suis bien consciente ! J’exulte de joie (comme une gamine!!) et crie “ça y est j’y suis arrivée !! Et tout de suite, je pense qu’il faut que j’aille prévenir Akhéna. Et aussitôt, mon corps part comme
une fusée et je vois défiler des tas de paysages. Ce sont comme des parcs avec de belles pelouses et des arbresmajestueux, délimités en parcelle avec des haies, et ce qui est curieux, c’est qu’il y a énormément d’enfants qui jouent dans ces parcs. Chaque parc semble avoir un thème. Je me rappelle notamment d’un où il y avait des monstres. Mais ils ne s’approchent pas de moi ! En fait personne ne s’occupe de moi ! Et tout à coup, je réalise que vu que je suis dans l’astral, cela ne sert à rien d’aller voir Ahéna. Je regarde machinalement l’heure à mon poignet. Une montre se dessine mais je n’arrive pas à y lire quoi que ce soit. Ensuite, je me dis que puisque je suis dans l’astral, je vais aller voir mes guides. Je fais la demande : il ne se passe rien ! Je plane(comme un oiseau) au dessus de paysages magnifiques (des collines verdoyantes), mais je sais que je n’arrive pas à aller voir mes guides.
Puis j’arrive vers la mer, alors je décide (je ne sais pas pourquoi !!)d’aller voir Manhattan. Et mon corps repart comme une fusée à l’horizontale, puis à la verticale, au dessus de l’eau. L’eau est grise ! Il ne fait pas beau à cet endroit. Je réalise que j’ai une sorte de planche avec un dériveur sous les pieds et j’ai un papier dans la main
droite et un livret dans la main gauche. Je ris et je me dis que si je suis dans l’astral, je n’ai pas besoin de planche sur l’eau. Quand au livret, c’est un précis qui explique comment faire dans l’astral…peut-être parce que j’essayais de me remémorer ce que j’avais noté lors des séances ! Mais comme pour la montre je n’arrive pas à lire ce qu’il y a d’inscrit ! Quand au papier, il disparait sans que j’y fasse attention !
Mais je ne sais plus pourquoi, je rebrousse chemin et je me retrouve dans cette multitude de parcs. Je suis debout dans l’herbe rase, lorsque je vois approcher une silhouette avec des enfants. Et voilà, que très conviviale, je dis : si tu es une forme pensée, va t-en !!Et la jeune femme, car maintenant je la distingue bien, se met à rire et me regarde de façon très aimante (je ressens bien ce sentiment) et je la reconnais : c’est ma tante Danièle, décédée dans les années 80 mais sous sa forme de jeune fille. Ce qui est rigolo, c’est que son visage “clignote” comme en fondu enchainé avec ce visage et celui qu’elle avait lors de son décès (entre 45 et 50 ans). Elle me demande ce que je fais là. On se serre très chaleureusement dans les bras l’une de l’autre.
On se dit des banalités “comment vas-tu ?” Je lui demande si ma grand mère (sa mère) est là mais elle n’en sait rien ! Et puis en fait, on n’a rien d’autre à se dire même si on est contente de se voir ! Et je me retrouve en douceur dans mon corps et j’entends le portable de mon époux qui sonne… Je suis bien, avec à peine les oreilles qui sifflent ! Et j’ai hâte de recommencer !!

Première expérience d’Hervé

Je voudrais te soumettre une expérience réalisée dans la nuit du jeudi 29/04/04 :
Dans l’après-midi j’avais écouté le C.D. projection astrale en intégralité (pas d’effet
immédiat). Donc j’avais programmé une sortie la nuit à 2H30. Réveil à l’heure dite, exercices respiratoires, prise de conscience des chakras, etc.. pendant environ 2Omn, puis j’ai repris ma position habituelle de sommeil. J’avais chaud, et mon corps a été pris de fourmillements de haut en bas. Instantanément, j’ai vu défiler sur fond
bleu une multitude de silhouettes blanches qui allaient de la gauche vers la droite.
Certaines avaient des ailes, mais les formes étaient floues. J’avais l’œil gauche ouvert et je ne parvenais pas à ouvrir le droit. Je tendais le bras droit en essayant de leur parler. J’étais heureux, j’avais conscience d’être sorti de mon corps. A un moment, mon épouse Martine a parlé et je pensais qu’elle devait se taire car cela allait me faire revenir dans mon corps physique….Fin de l’expérience.
Le reste de la nuit a été fortement agité. A notre réveil, Martine n’avait pas le souvenir de m’avoir parlé.

Une expérience de SHC : récit d’Anne-Marie

II est sept heures du matin. C’est le début d’un week-end de Novembre paisible et douillet. La maison est très calme. La perspective d’un lever plus tardif que de coutume me remplit de langueur. Je me rendis compte tout à coup que mon corps était « bizarre » dans les sensations qu’il me donnait. Je le sentais comme engourdi et ne m’obéissant plus. J’essaie de bouger un bras, mais sans résultat…
Soudain, je me sentis m’élever jusqu’à quelques centimètres du plafond. Son aspect granuleux est bien celui qu’il a dans la réalité quotidienne. Je jetais un coup d’oeil à droite et à gauche et les bouquets de fleurs de la tapisserie me confirmèrent que j’étais bien dans ma chambre « physique », mais à 3 mètres du sol.
Très vite je me rendis compte que j’avais toute ma lucidité, et ma réflexion mais que la peur gagnait du terrain. Je n’avais pas du tout envie de regarder en dessous pour apercevoir mon corps inerte, allongé sur mon lit.
Alors je médis « A présent, il faut y aller… C’est parti !» Je n’ai pas trouvé le béton très agréable à traverser, mais je puis dire que j’ai eu le temps d’observer quelques « parpaings. »
J’étais comme catapultée et en un éclair, je me suis retrouvée, planant dans une bijouterie, et plus précisément dans le rayon argenterie, timbales, couverts… Je pris conscience qu’une entité, une petite fille d’environ sept ans, planait avec moi. Sans marquer de surprise, comme si cela était parfaitement naturel, j’acceptais sa présence.
Gourmandise oblige, même dans l’astral, je lui proposais d’aller plutôt dans une pâtisserie car cela nous aurait permis de manger des gâteaux. Nous nous sommes retrouvées toutes deux à déambuler dans la ville de Commercy, dans l’Est de la France. Un groupé d’enfants en uniformes de pensionnat et portant un béret sur la tête croisa notre route. Je dois préciser qu’ils m’apparaissaient comme en image virtuelle en deuxième plan.
L’entité qui faisait le voyage avec moi, me dit que ces enfants avaient été tués pendant la dernière guerre. Puis cette petite fille me demanda de jouer avec elle à la poupée et son souhait était si grand que mon désir de pâtisseries disparut. Nous avons joué toutes les deux avec des poupées
Barbie, dont les vêtements étaient d’ailleurs mouillés car elle les avait lavés peu de temps avant.
Au cours du jeu, elle évoqua sa vie. Elle me confia qu’un jour, elle en avait eu assez de ses malheurs sur terre. Alors elle était partie à l’aventure. Elle ne me dit pas comment elle était morte. Elle jouait avec ses poupées avec beaucoup d’application en faisant comme nos enfants lorsqu’ils entrecoupent leurs jeux de phrases importantes.
Un-peu plus tard, une dame qui semblait s’occuper d’elle, apparut et lui conseilla étant donné l’heure tardive, d’aller se coucher. En même temps, mes « obligations » de la vie terrestre me fit lui dire que je ne pouvais plus continuer de jouer avec elle, car je risquais d’être en retard « en bas, » et nous nous sommes quittées rapidement.
Je vis apparaître un immense cône blanc, et mon retour dans mon corps fut plutôt du type « atterrissage raté ». Après un grand sursaut qui me fit tressaillir des pieds jusqu’à la tête, je me suis retrouvée dans mon lit et dans mon corps. II m’a fallu ensuite, un bon quart d’heure de repos avant de reprendre le rythme de ma vie quotidienne… Mais quel voyage agréable, et quels beaux souvenirs !

RV ASTRAUX, échanges d’e-mails
Ta sortie Akhéna est fabuleuse, c’est beau de pouvoir se prolonger ainsi pour aider au mieux un animal qui vous a été si proche.
Voici ma sortie qui recoupe d’assez loin ton récit, mais je signale quelques éléments intéressants de concordance.

Alain : SHC du lundi 15 Décembre vers 4 h1/4 du matin

Préparation : Samedi soir 11h méditation 3/4 d’h + 1 protocole respiratoire avec programmation
Dimanche soir 11h idem samedi
Réveil lundi à 3h 1/4 méditation 1/2 h + protocole respiratoire qui m’a demandé beaucoup de volontés
J’estime mes chances de sorties assez faibles, vu le repas copieux pris dimanche soir chez des amis

Résultat : Assez rapidement j’ai pu me détendre allongé sur le dos, quelques temps plus tard, j’ai apprécié le fait d’avoir mis 2 coussins sous ma tête et mon dos, ainsi incurvé je me sentais bien dans mon corps et attendais les vibrations : signe du déclenchement de la SHC qui n’ont pas tardé à venir puis élançais hors de mon corps pour me retrouver debout dans ma chambre.
(en fait je n’avais pas ces 2 coussins relevant le dos et la tête mais devais déjà être détaché de mon corps physique et flotter dans cette position au moment où je me sentais si bien installé !, intéressant aussi de noter que les vibrations viendraient pour moi après décollement du corps astral, j’ai toujours estimé l’inverse)

A/ Cette première sortie est toujours assez difficile pour moi je suis en attente de quelque chose sans programme précis malgré ma programmation, j’essaie de me mettre en méditation j’adopte la posture sans arriver à faire le vide mental, déçus je réintègre mon corps.

B/ Quelqu’un parle derrière ma porte assez fort d’ailleurs, et me dit qu’elle est ce gêneur qui empêche de sortir, j’écoute encore et suis surpris de reconnaître la voix d’Akhéna ! je reprend mes esprits en prenant conscience que je suis en SHC alors je me lève précipitamment traverse ma porte fermée arrive dans le couloir et là personne.
Une personne passe par là et je lui demande où se trouve la personne qui était là il y a un instant, elle me répond :
– Qui demandez vous ?
– Je cherche Akhéna ?
– Vos êtes le directeur de l’hôpital pour la demander ?
– Non…. ( Akhéna dans un hôpital voilà encore mon imagination au travail)
toutefois je décide de la chercher, je descend l’escalier et au bas de l’escalier sur la gauche de la galerie marchande se trouve une épicerie, 3-4 personnes attendent d’être servis mais je reconnais l’une d’elle qui se présente de dos, c’est sûre c’est Aleth. Elle a fait ses achats, sort du magasin et tombe sur moi, me regarde l’air vague puis me reconnais alors nous nous faisons un bisous divin sur les lèvres, je ressens combien on s’aime, puis comme à son habitude toujours speed elle continue son chemin. et moi je réintègre mon corps physique pour recharger mes batteries.

Malgré mes bonnes dispositions, je ne suis pas ressorti, il aurait fallu pour cela que je ne bouge pas dans mon lit, effectivement des que je change de position, je me réveille vraiment et comprend trop tard que je reviens de loin.

Il est très intéressant Akhéna de voir qu’il y a tout de même un point de jonction avec ta propre sortie, c’est le fait que je t’ai cherché dans un hôpital de l’astral, le lieu où tu trouvais à ce moment là n’en n’étais pas très éloigné.
Peut être ai-je rencontré la dame en blanc ? pour moi elle était tout simplement une infirmière.
Ce que tu y faisais était assez important pour que seul le directeur de l’établissement puisse te déranger ! effectivement je pense que l’infirmière avait raison.

J’ai raconté ce midi tout cela à mon épouse, elle m’a dit que ce serait bien de recevoir ton compte rendu éventuel de ta SHC à ce moment là, chose faite, merci de cet envoi.

Alain
—– Original Message —–
From: Akhena
To: Alain
Sent: Monday, December 15, 2003 5:42 PM
Subject: R.V de la nuit de dimanche à lundi

Akhena SHC du lundi 15 décembre 4h du matin
Le soir je pense au R.V. hebdomadaire avec les élèves mais je sais que mon désir est ailleurs, même si ce désir me paraît déraisonnable vu ce que je connais de l’astral.

Le chat SAMYR a quitté le plan physique le samedi 13 décembre vers 10 h 30, suite à sa grande vieillesse, à une très grave et longue maladie (un lymphome intestinal), un blocage subit et total des reins, et finalement une euthanasie décidée par moi et réalisée par le vétérinaire à l’aide de produits forts (tranquillisant majeur et poison). Avec tout çà, comment espérer que SAMYR retrouve la conscience aussi vite ? Au moins une bonne dizaine de jours terrestres, avec les soins d’entités spécialisées de l’astral seront nécessaires. Ses corps énergétiques sont forcément lésés. Pour lui, chat, il s’agit du corps astral et peut être d’un embryon de corps mental.

De plus, le corps physique de SAMYR repose encore chez le vétérinaire, en attendant l’incinération que j’ai fixée au jeudi 18 décembre (de façon à donner au corps éthérique tout le temps de se dégager du corps physique et de mourir à son tour)

Dans ces conditions, comment rencontrer SAMYR ? Faut-il prendre patience ou demander à l’entité qui s’occupe de sa régénération dans l’astral et que je connais une « permission spéciale » ? J’appelle cette entité « la femme en blanc », je l’ai rencontrée par deux fois quand elle s’occupait du chat décédé DOUMINOU. Au moment de l’euthanasie, je lui ai recommandé de prendre soin de SAMYR. A Akhenaton aussi j’ai confié SAMYR. Je décide d’émettre le souhait tout en remettant la décision à « la femme en blanc » et à Akhenaton.

Je me réveille à 4 h, repense fugitivement à mon souhait, et me voilà directement partie hors de mon corps, l’impulsion est venue de l’extérieur. Je me retrouve, sans la moindre errance, dans un lieu clos, agréablement obscur (avec mes yeux astraux j’y vois parfaitement dans l’obscurité, qui n’est d’ailleurs pas le noir mais cette obscurité phosphorescente propre à l’astral), il règne là une atmosphère particulièrement reposante, il n’y a personne de visible, ce lieu respire l’amour et le tendresse. J’aperçois dormant paisiblement sur le sol le chat SAMYR. Il entrouvre ses yeux fugitivement (j’entrevois leurs lueurs jaunes), il commence à ronronner. Je le caresse et je sens (oh ! merveille !) que son pelage est redevenu doux et tiède. Il brille légèrement dans l’obscurité… Je me retire sur la pointe des pieds jusque mon corps physique pour ne pas déranger davantage SAMYR.

Je sais maintenant que SAMYR se repose en attendant sa résurrection astrale qui ne saurait tarder vu tout l’amour qui veille sur lui.
AKHENA

Première sortie: récit de Florent

J’ai fait un rêve très intéressant. J’étais en train de dormir au même endroit que dans la réalité. Et puis j’ai commencé à sortir de mon corps. C’est à dire que mes jambes ne bougeaient pas mais le haut de mon corps s’est relevé et s’est donc détaché de mon corps allongé sur le lit. J’étais très attiré par ce dernier comme un aimant et je devais lutter pour ne pas y retourner. Mais au bout d’un moment c’était trop dur et j’ai dû me laisser retomber. Pendant cette petite sortie hors du corps j’étais très conscient du phénomène. Je me suis alors réveillé et j’avais vraiment le sentiment d’avoir fait une SHC. De plus j’ai compris une notion dans ce rêve que j’avais du mal à saisir : à savoir le contrôle pour re-rentrer dans son corps. Puisque dans mon rêve je pouvais réintégrer mon corps comme je le voulais. Depuis ce rêve j’appréhende beaucoup moins les SHC puisque j’ai vu comment cela se passait. Je suis quasiment sûr d’avoir fait un début de SHC mais en étant endormi.

Sorties de Danièle, une élève expérimentée

1 novembre 2003
Je sors tranquillement au-dessus de moi, juste avant de m’endormir. J’entends du bruit dans la maison, je rentre puis je ressors une jambe puis le corps entier. Je reste comme cela un moment. De nouveau du bruit à l’extérieur, je rentre en m’affalant dans mon corps physique.

4 novembre 2003
Je sors de mon corps et me retrouve dans ma précédente maison. Deux bandes de voyous s’affrontent. C’est une escalade de violence entre les 2 clans. Je faisais partie d’un clan. Lorsqu’un clan attaquait, l’autre répliquait plus fort. Les attaques se faisaient à la vitesse de la pensée (créatrice mais négative). Elles se concrétisaient sous formes de handicaps infligés aux autres (genre : vous devenez sourds, aveugles, sans membres.) Lorsqu’un clan avait une nette domination sur l’autre il desserrait un peu la pression, mais il y avait vigilance des deux côtés pour prendre ou garder le pouvoir. A la fin tous les combattants étaient monstrueux à force de recevoir des agressions, seul le regard restait intact, tout le reste du corps était déformé. C’était plutôt une vision d’horreur, mais je n’avais pas peur. Je n’ai pas peur dans l’astral. Je suis certaine qu’il ne peut rien arriver qui n’existe en moi.

Samedi 15 novembre 2003-
Après une journée intéressante en événements, et beaucoup de travail, je décide très fermement de sortir. J’en ai une très forte envie. Je lis une page d’un livre de sorties hors corps avant de m’assoupir et je m’apaise. Je me concentre sur mon troisième œil avec une pensée très forte «je veux aller sur mon terrain de sport » ‘ (je le fréquente beaucoup en ce moment et j’y ai des objectifs). Je répète cette volonté en faisant une expansion de conscience sur le terrain de sport. Je reste en même temps vigilante quant à ce qui se passe dans mon corps physique. Je ressens une poussée derrière le genou, puis une derrière le dos. J’essaie de garder calmement conscience et vigilance. Je sens que le temps passe (une heure, une heure et demie), mais je ne suis pas impatiente, je me dis que je veux continuer à vouloir. Je décide alors d’un programme pour m’occuper. Je connais cinq hommes, que je fréquente pour différentes raisons : sportives, amicales, professionnelles) ils ont la particularité d’avoir un anima assez fort. Ma problématique est d’avoir un animus assez fort. Je décide de les rencontrer en astral pour travailler cet animus qui est mon grand travail karmique. Je programme ensuite une rencontre avec mes guides pour travailler avec eux ce que j’aurai récolté de ma rencontre avec mes cinq hommes. Sitôt mon programme achevé je suis transportée sur mon terrain de sport. Je suis en déplacement astral.
Je veux appeler le premier homme mais je ne me souviens plus de son prénom : je me dis :
« Voici une résistance, je vais faire autre chose en attendant. »
Beaucoup d’objets défilent, cela va très vite. Je vois Akhéna. Elle est beaucoup plus jeune. Je lui demande de me donner des indices pour me confirmer ma sortie. Elle me dit
« yagel, yavéra… ? »
Je lui dis qu’elle doit me l’écrire car je n’arriverai pas à m’en souvenir. Je vois une enveloppe avec une partie bleue et des dessins blancs.
Après vérification, Akhéna prononce le mot «lavéra » assez proche de «yavéra » dans ses sorties hors corps et possède des enveloppes similaires.

Je me souviens du prénom de mon ami. Je l’appelle, il est là. Je luis dis «je veux te rencontrer pour comprendre ton anima » et là je fusionne avec lui. J’appelle les autres et j’opère de la même manière.
J’évolue ensuite, en glissant dans des décors très encombrés. Je remarque que des objets me créent un malaise. Je me dis :
« Des formes pensées ! »
Je les sélectionne une à une comme sur un ordinateur et je dis
« Forme pensée, à dégager ! ».
Elles disparaissent une à une, d’autres reviennent, je continue. Le rythme s’accélère. Des paquets d’objets se présentent, certains sont noirs, je les sélectionne et je les dégage. Au fur et à mesure, les formes pensées deviennent de plus en plus grosses. Je me dis :
« Je dois passer au stade supérieur, le test est plus dur et le mental se renforce »
. J’ai de plus en plus de mal à les faire partir. J’insiste. J’y arrive. Je suis alors prise dans des filets à mailles très serrées : je me dis :
« Je vais céder au mental et je vais paniquer… allons non ! Tu n’as pas peur dans l’astral, tu as peur dans le quotidien parce que tu dois encore travailler sur l’amour, donc n’aie pas peur ! Il y a deux solutions ou bien tu paniques et tu te retrouves dans ton corps immédiatement ou bien tu décides de rentrer volontairement dans ton corps. Si le résultat est le même, la démarche est totalement différente. »
Cette discussion avec moi-même m’apaise et les mailles du filet se desserrent. Je continue, je rencontre beaucoup de monde, je plonge à travers des murs. Quelqu’un me dit :
« Comment peux-tu traverser ce miroir ?
Je doute, je pose un doigt et il se pose sur le miroir sans le traverser, je doute encore puis je dis :
« Tu es en sortie hors corps donc tu peux traverser ! »
Je plonge et le traverse. Je me dis que je dois me rappeler toute cette sortie car c’est très important pour Françoise, une amie avec qui je travaille ces sorties.

Lundi 17 novembre 03 : 3h30
Je suis dans une cuisine que je ne connais pas complètement. Il y a un roulement d’à peu près cinq personnes qui entrent et sortent de cette cuisine. Tout en nous affairant, nous parlons de l’Amour Universel. Un repas a lieu dans une autre pièce. Nous allons et venons dans cette cuisine pour y apporter la vaisselle sale et « rapporter » de la vaisselle propre. Ceux qui stationnent dans cette cuisine décident en plus de leur travail d’allées et venues de faire la vaisselle apportée par les autres. Les couverts sont en inox avec des manches orange. La cuisine par certains détails (évier, porte-fenêtre) ressemble à celle d’Akhéna mais diffère sur d’autres points.

Récit d’Alain, un vétéran de la SHC

“J’ai rapidement pu voir mes mains astrales puis bouger mes deux jambes, et chose étrange j’ai même vu la partie supérieure de mon corps astral (ma conscience restant dans le corps endormi) puis cette conscience, à mon grand soulagement, a réintégré le corps astral.
La chambre était sombre et j’ai remarqué que je pouvais repérer les meubles et les murs en m’approchant d’eux alors mon corps les ressentait comme un frémissement et une certaine chaleur à leur contact.
J’effectuais ensuite une deuxième sortie, décidé à me projeter dans ta salle de méditation, ce fut impossible ! et là je me mis à pleurer de désespoir car voila plusieurs fois que j’effectue cette tentative (je ne savais pas qu’on pouvais pleurer dans l’astral)
J’effectuais ensuite une troisième sortie mais cette fois ma chambre était toute illuminée comme par un flash puissant c’était merveilleux, le couvre-lit, la tenture au mur les meubles, tout semblait comme phosphorescent.
Je me mis à regarder de façon critique comparant les lieux au souvenir de ma chambre et constatais des différences, il y manquait un grand nombre d’objet dont ma table de bureau avec ses ordinateurs.
En fait je constate à présent que ce qui brillait correspondait aux objets que j’aime et qui m’ont flashé à leur premier contact.
De retour dans mon corps, j’ai vu Aleth rentrer dans ma chambre, je lui ai demandé pourquoi elle me dérangeait dans ces moment de SHC, elle m’a dit s’être coupé un doigt et elle venait chercher du sparadrap, je prenais acte et me dit que pour la poursuite de la SHC, c’était foutu.

A mon réveil, je demandais à Aleth si elle était entrée dans ma chambre ce matin, non pas du tout !, je lui reportais ma version encore toute fraîche et combien fut mon étonnement de constater qu’Aleth s’était brûlée la main la veille et avait appliqué sur la plaie un pansement auto-collant comme une rustine de vélo. Nous ne nous étions pas échangé ce fait
Interprétation perso : l’image pensée de l’accident m’est tout de même parvenue avec quelques déformation il est vrai.

Récit de Danièle, mardi 13 janvier 2004 au matin

Cela fait un an qu’une amie est décédée. C’est elle qui m’a ouvert la porte de l”Entité Melchisédek. Depuis plusieurs jours, j’émettais le désir d’entrer en contact avec cette Entité ou son énergie. Je renouvelais chaque soir ce désir, j’avais besoin d’avoir des réponses directes et fermes sur certaines situations que je vis.

Sans préambule je me retrouve dans mon salon, c’est assez rare que je reste dans ma maison en SHC. Les personnes présentes devaient sortir. Je devais me trouver seule. Je vois clair mais je sais que c’est la nuit et que je suis en SHC, pour moi c’est une certitude. Une profonde et très intense lumière descend du ciel que j’aperçois de ma fenêtre. Cela se présentait comme une gigantesque onde très dense et lumineuse. J’étais à l’intérieur de la maison mais je pouvais à peine supporter la vibration de cette lumière. Je ne bouge pas et j’attends. Cela recommence, j’ai confiance. Cette vague vibratoire envahit la pièce . C’est d’une intensité énergétique considérable. Tout ce qui électrique vibre dans la pièce et semble canaliser ou essaie de canaliser cette intensité. Je me dis “je dois débrancher les appareils, ils vont tous exploser”. Je me dis que je suis seule. J’essaie d’aller dans les autres pièces pour chercher mon mari et partager cet événement. Mais, je sais que je dois être seule pour assister à cela. Une troisième fois ,je vois et ressens cette intense vague de lumière potentiellement éblouissante, je sais que je ne vois pas sa pleine puissance. Je peux la regarder et la ressentir. Je n’ai pas peur, je m’en remplis et je sais à l’instant qu’il s’agit de l’énergie de Melchisédech.

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