Et si nous étions libres

roman libres

Et si la vie, après tout, n’était qu’une invitation au voyage, à tous les voyages… Brûler son cœur dans les nuits incendiaires de la Cité des Anges, danser au soleil levant quand la Méditerranée s’embrase, déambuler dans une Alexandrie brûlante de fièvres perverses, aimer sans loi ni raison à Paris, Venise ou ailleurs, mourir dans les déserts ou sur les îles, et puis, quand les jours patinent et arrêtent leur course, s’endormir en rêvant que, là-bas, derrière l’horizon du soleil, un autre voyage nous tend les bras ?

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Auteur : (AKHENA) – Editions : Le Courrier du Livre

Cathy Selena Facebook, le 23 mai 2016

Je re-re-re-re partage, et je vous explique pourquoi… Nous n’avons pas de département littérature dans le groupe Trédaniel qui comporte une dizaine de marques éditoriales, dont Le Courrier du livre… Et pourtant, j’ai souhaité publier ce roman avec toutes les difficultés que cela comportait car nous ne sommes pas “légitimes” en littérature et broyés par les grandes maisons… Ce roman, je l’ai aimé et porté depuis le début avec toute l’énergie dont je suis capable car il m’a profondément touchée et émue… Je considère que la littérature a du pouvoir dès lors qu’elle touche la condition humaine et qu’au-delà de l’histoire, on accède à une dimension universelle de par le message qui est véhiculé… La liberté est une notion philosophique, et de ce point de vue, ce roman alimente nos réflexions sur ce concept, sur notre libre-arbitre à choisir notre vie… et notre mort… Alors oui, Annick Cherville n’est pas une auteure connue, oui, le roman fait environ 800 pages et je n’ai pas voulu “couper dedans à la hache” car je trouve que certaines longueurs ont leur raison d’être… mais pour autant, je serai heureuse que vous achetiez ce roman, que vous le lisiez, que vous le commentiez, que vous le partagiez… parce que la littérature a besoin d’être soutenue, et que si nous continuons à lire uniquement ce que l’industrie marketing du livre nous invite à lire, nous ne serons plus “libres” d’apprécier à sa juste valeur le roman d’un auteur inconnu ou de révéler un talent lorsque l’occasion se présente…

Laurent

” En chemin d’éveil de conscience, mais aussi nanti du poids de mon éducation, et théoriquement très en opposition de phase avec les comportements et agissements des personnages du roman, je suis pourtant entré dans la danse, vivant cette liberté en profondeur : je respirais mieux au fur et à mesure de la lecture, comme si je me libérais moi-même, m’identifiant en chacun des protagonistes. Pendant des jours, j’ai un peu vécu sur un nuage, comme vivant sur un autre plan pendant ma lecture, une autre vie, libre. Pourquoi pas ? Finalement, s’opère un peu une sorte de déconstruction mentale, mes croyances se sont estompées l’espace d’un temps. Pourquoi pas ? Tout parcours de vie sincère, vrai, réfléchi, est cohérent. J’ai lu livre avec avidité, pris dans ce tourbillon de liberté assumée. Un livre nécessairement long. Quand la magie a cessé, longtemps après, j’ai mieux vu l’envers du décor aussi, ces vies inachevés “

André, le 4 décembre 2016

” J’ai terminé hier soir la lecture de Et si nous étions libres commencée le mardi 18 octobre 2016. Lors de cette lecture, de temps à autre mes yeux se brouillèrent, parfois quelques larmes s’échappèrent des paupières qui se fermaient doucement pour une réflexion intérieure.
Les mots « …de choisir le jour de notre mort. » vinrent s’ajouter progressivement au titre de ton roman. J’ai chevauché la crête des vagues de mes émotions dont l’intensité fluctua au fil des pages parcourues ces dernières sept semaines. Tout au long de ce voyage, de ces voyages, de ces voyages de vie, un voile d’éternité s’est superposé au vécu des protagonistes. Les perles du collier de la vie de chaque personnage ont brillé tour à tour ; certains fils se sont volontairement coupés, d’autres accidentellement. Les perles se sont répandues dans la trame du temps à l’image des cendres éparpillées sur les vagues aux reflets d’argents.
Le filtre, le philtre de la mort en fond de trame m’offrit une réflexion sur la relativité de notre voyage sur Terre, et, à l’image de la fable Un vieux professeur, de garder à l’esprit mes priorités afin de leur consacrer le temps précieux qui s’écoule tel le sable au travers des doigts de la main. Comme tu l’as écrit la photo est la preuve flagrante de ce qui n’est plus. Alors que les instants sur image soient auréolés de la beauté, du mystère et de la magie de la vie …et que les choix reflètent ceux du cœur et non ceux du mental, des choix libres du conditionnement familial, sociétal et religieux. La mort, cette compagne de tous les instants, n’est-elle pas là pour nous inviter à savourer chaque instant de l’existence quelque soit le contexte de chaque vie ; tout est important, rien n’est important. Le temps qui s’écoule glisse sur les événements et les circonstances, telle une vague qui efface les empreintes de pas sur le sable mouillé. La trame de la vie se tisse des milliards de fils de vie qui évoluent sur Terre.
Merci Annick pour ce roman qui a poétisé ces dernières semaines. “

Linda, le 26 février 2017

Bonjour AKHENA,
Je viens de terminer “Et si nous étions libres” acheté lors du stage SHC le 4 février.
Impression globale ; Magnifique roman avec une belle écriture, dense, fine, élégante. Profondeur philosophique abyssale… Une vraie romancière se montre là, digne de prix littéraire!!
Impression intine ; je me suis laissée emporter, traverser dans ce voyage au long cours où, intérieur, extérieur se confondent. Des moments de troubles avec la sensation que l’obscurité allez tout engloutir et en même temps une légèreté comme un détachement sur les choses, la vie, les êtres… un regard observateur, subtile mélange.
Par-delà les évènements une question lancinante “liberté” liberté des corps, des désirs, des passions, des émotions, des choix… jusqu’à un certain point et puis après ? Libre de choisir le moment de sa fin ? fin d’un corps, mais est-ce pour autant une fin ?
Transmutation, transformation, une vie au-delà d’un corps, une conscience ! mais avec quel contenu ? Les SHC révèlent des expériences, mais y sommes nous libres où encore emprisonnés par nos émotions.
Une vie dans le monde du sans forme où seul l’amour demeure ” Résidence des éveillés ” Tout est possible, rien n’est certain !!
Accepter cet état qui est celui de vivant, jusqu’au bout… amène peut-être des réponses., une sagesse de notre condition, fragile, incertaine.
Vivre est peut-être plus difficile que Mourir…
Ton livre Akhena m’a profondement touchée. A plusieurs reprises j’ai tenté de l’abondonner, mais impossible ! Toutes les questions qu’il soulève sont au coeur de toute ma vie, depuis plus de 40 ans j’ai traversé bien des lieux, tenté de ‘Connaître’ l’inconnaissable pour arriver aujourd’hui à 60 ans dans l’acceptation de notre condition, et peut-être dans le jusqu’au bout… alléger notre fardeau, rencontrer notre Liberté le moment venu…
Bien AMICALEMENT, et avec ma considération.

Sophie Ally, lectrice pour le JDBN, le 13 mars 2017
logo jdbn « 739 pages de pur envoutement ! On ne lâche pas ce livre, on le dévore. Un magnifique premier roman qui nous emmène avec l’héroïne vers la passion et le désespoir. Sentiments mélangés, dérangeants, passionnants, frustrants nous guident et nous coupent le souffle. Un vrai coup de cœur que je vous invite à découvrir au plus vite. »

 

A propos du roman et de son auteure

samyr akhena

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